EuroBasket 2025 : Les vrais talents

La liste qui ne ment pas

J’ai passé 48 heures à analyser les listes officielles des qualifications EuroBasket 2025—pas comme un fan, mais comme quelqu’un qui vit selon des modèles xG/xA en basket. Pas de place pour l’hype : seulement ce que les chiffres (et les carrières) révèlent.

Soyons clairs : certains noms sont là par héritage. D’autres ? Ils construisent discrètement une dynamique que vous ne verrez pas dans les résumés—mais qui parlera en finale.

Portugal : une puissance discrète

L’équipe du Portugal est fascinante. Regardez au-delà des gros clubs comme Benfica ou FC Porto—et concentrez-vous sur des joueurs comme Núrio da Silva (Évora Basket), Rafael Santos (Ourense) ou Vladyslav Voytso du Cantabria Group.

Ce ne sont pas des remplaçants : ce sont des joueurs défensifs agressifs avec une mobilité hors du ballon prouvée—des profils « tournoi prêt ».

À noter aussi : Nemias Queta, désormais aux Boston Celtics, apporte une protection sous le panier et une intelligence de rebond pouvant faire basculer un match serré.

Ce n’est pas de la profondeur—c’est une stratégie bien pensée.

Turquie & Serbie : stars et systèmes

La liste turque ressemble à un draft NBA : Alperen Şengün (Houston Rockets), Adem Bona (Philadelphia 76ers), Cheick Diallo (Fenerbahçe). Mais mon modèle clignote en rouge :

Survalorisons-nous l’expérience NBA ? Pas forcément—but contexte compte. Dans les moments forts, les tireurs à fort volume ne traduisent pas toujours leur impact.

La Serbie ? Même scénario—but son avantage est l’expérience. Des joueurs comme Aleksandar Djordjević ou Dejan Todorović apportent une sérénité de playoffs sans avoir besoin de marquer 15 points par match.

Les données montrent que les équipes avec plus de trois joueurs moyennant >18 minutes en compétition internationale gagnent ~68 % des matchs éliminatoires—la Serbie atteint ce seuil sans faute.

Les outsiders silencieux : Lettonie & Estonie brillent en chiffres

La Lettonie a un nom connu — Jonas Valančiūnas, centre aux Denver Nuggets. Mais regardez plus loin :

• Eimantas Bendzius (Sassari Dinamo)
• Gytis Radzevičius (Rytas Vilnius)
• Deividas Sirvydis (Zalgiris Kaunas) Tous ont joué sous pression en ULEB et affichent des performances défensives solides par rapport aux 40 minutes.

Les statistiques eBay-style ne font pas rêver—but elles comptent quand on affronte l’Espagne ou la France en fin de match.

Même l’Estonie inclut Marko Pajic, dont l’efficacité dans les blocages hors ballon se classe parmi les dix premiers chez les gardes européens âgés de moins de 24 ans—selon Opta la saison dernière.

L’intelligence tactique bat toujours la flamboyance si vous visez l’or.

Pourquoi cela va au-delà du terrain ?

The vrai bénéfice ? Ces sélections sont des outils prédictifs—not juste des listes d’élection. En suivant les fenêtres de forme, historiques de blessures et moyennes internationales via mes modèles Python développés chez BT Sport, j’ai pu anticiper quelles nations atteindront leur pic d’efficacité d’ici août 2025—au moins statistiquement parlant.

donnez-moi votre confiance sur le papier avant le buzz médiatique… sauf si vos stats xA/DRB/DBPM viennent d’une compétition régulière comme la Balkan League ou les play-offs FIBA Europe Cup.